Data Analyst en portage salarial

1 – Travailler en toute liberté
A l’image de n’importe travailleur en freelance ou chef d’entreprise, le data analyst exerçant en portage salarial n’est soumis à aucun lien hiérarchique. C’est lui qui organise son temps de travail et qui choisit ses clients, ses missions et leurs modalités. Il se charge également de négocier ses honoraires directement avec ses clients.
Un démarrage immédiat de l’activité
Le portage salarial est synonyme de fluidité, de rapidité, et ce, dès le lancement de l’activité. Ainsi, aucune formalité d’enregistrement n’est demandée. La société de portage salarial met à disposition des modèles de contrats. Dès lors que le consultant s’est mis d’accord avec son client sur la nature, le prix et la durée de sa prestation, la mission peut démarrer en moins de 48 heures.

2 – Déléguer ses contraintes administratives
Au cœur de la relation qui lie le data analyst porté et son entreprise de portage, on trouve la nécessité pour cette dernière de prendre en charge un certain nombre de formalités. La société de portage s’occupe en particulier de la comptabilité du salarié :
– facturation des prestations à l’entreprise cliente
– recouvrement, la société de portage veille au paiement des factures, au respect l’échéancier, et se charge donc d’effectuer les relances nécessaires.

3 – Bénéficier d’un salaire mensuel
Dès le début de leur relation, la société de portage se met d’accord avec le data analyst porté sur la rémunération qu’elle lui versera – celle-ci étant calculé au regard des montants facturés par le professionnel à ses clients. Dès lors, après déduction des frais de gestion, la société de portage lui verse chaque mois un salaire.
Dans la continuité, c’est la société de portage qui s’occupe de l’édition des bulletins de salaire et du calcul des charges sociales associées. Chaque mois, le data analyst se voit adresser un document comprenant tous les détails de sa rémunération :
– frais de gestion prélevés
– frais professionnels
– indemnité compensatrice congés payés
– frais professionnels, etc.

4 – Bénéficier de la couverture chômage
Comme tout salarié, le data analyst en portage cotise à l’assurance chômage et peut donc, en toute logique, faire valoir ses droits en fin de mission. Depuis le 1er novembre 2019, il doit à cette fin totaliser un minimum de 6 mois travaillés sur les 24 derniers. A noter : il est possible de remplir cette condition avec un ou plusieurs contrats de travail, pour le compte de différents employeurs.

5 – Disposer d’une couverture sociale
Tout salarié porté est couvert par la sécurité sociale et le régime général. Dès lors, contrairement aux autres professionnels en freelance, il bénéficie de la prise en charge de ses remboursements de soin, de ses consultations chez le médecin, de ses arrêts maladie, etc. Il perçoit les indemnités journalières de la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie). Le salarié porté bénéficie d’une mutuelle d’entreprise, mais aussi d’une prévoyance, en complément de la sécurité sociale.

6 – Cotiser pour sa retraite
Le principe est simple : les sociétés de portage adhèrent aux caisses de la Sécurité sociale et complémentaires et, à ce titre, elle se charge d’y affilier leurs salariés. De même, l’entreprise de portage a la responsabilité de calculer, puis de prélever les cotisations de retraite sur la rémunération du data analyst porté. Elle verse ensuite le montant imputé aux caisses, ce qui garantit la validation de ses trimestres de retraite.

7 – Être soutenu par une communauté d’experts
Contrairement aux professionnels freelance traditionnels, le data analyst en portage salarial peut compter sur sa société de portage pour le conseiller, mais aussi pour l’intégrer à son réseau d’experts évoluant dans des domaines d’activité proches.